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Revenons-en aux baleines
Une petite pause dans l'ours nageur, pour en revenir aux baleines... et, allez, c'est décidé : cette fois, on en verra le bout !
un peu de natation (presque synchronisée)
une illustration de la distance à la baleine
avant qu'elle ne poursuive son chemin
et ne replonge
ça grouille toujours d'oiseaux
nageoire de baleine couverte de balanes
celle-là, elles en a même sur la nageoire dorsale... ça doit être un signe de vieillesse !
triplet gagnant
La couleur ocre sous la nageoire caudale est apparemment due à des bestioles qui développent une petite colonie qui ne survit que dans les eaux froides arctiques... si on en croît le guide, ça peut représenter plusieurs kg ! fichtre !
Mais le temps change, la visibilité se réduit... il est temps de dire au revoir à nos amies les baleines et partir vers de nouvelles aventures...
Vous voyez... on en est venu à bout !
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Commentaires
1Jean ClaudeDimanche 2 Octobre 2016 à 22:40Ça reste passionnantRépondre2Jean-ClaudeLundi 3 Octobre 2016 à 13:38On observe très souvent les oiseaux marins et les baleines chasser dans les mêmes talles de nourriture. Les oiseaux profitent des manœuvres de regroupement des proies des baleines pour attraper quelques poissons. Par exemple, dans le Saint-Laurent, différentes espèces de goélands et de mouettes ont été vus alors qu’ils chapardaient des poissons sous le nez des petits rorquals. Dans la mer de Béring, les baleines grises, qui en filtrant les sédiments grâce à leurs courts fanons, créent la remontée de petits crustacés, appelés amphipodes, en surface, au plus grand bonheur des oiseaux présents comme les fulmars ou les phalaropes.
À la péninsule Valdés en Argentine, les baleines franches australes sont même devenues les proies des goélands dominicains qui arrachent des bouts de peau de plusieurs centimètres sur leur dos. Le dérangement causé par ces oiseaux sur ces baleines est d’ailleurs l’une des hypothèses mises de l’avant pour expliquer les taux de mortalités élevés chez les jeunes : à lire dans le National Geographic .
Finalement, une baleine morte est aussi une aubaine pour les oiseaux qui s’en nourrissent. Les bélugas retrouvés morts dans le Saint-Laurent présentent bien souvent des portions de peau complètement picorées par les oiseaux.
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3rlpLundi 3 Octobre 2016 à 20:24Même pas peur d'être aussi près des baleines ? Un coup de queue malencontreux est si vite arrivé...
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